Il parait qu'en septembre, c'est la fin.
J'ai peur, putain j'ai tellement peur.
Je crois que je n'ai jamais eu autant peur qu'en cet instant précis où l'avenir ne me semble qu'incipide et obscur.
J'ai peur de ce qui va arriver, de ce qui risque d'arriver et même de ce qui n'arrivera pas.
J'ai peur des autres, peur de la solitude.
Peur de rater, de tomber, peur de la perdre.
Peur de la perdre oui.
Je ne sais pas où je vais, ni même ce que je vais devenir.
Je sais juste que même si demain me parait bien sombre, il y'aura toujours cette lumière qu'elle m'apporte, et dont je prendrais soin aussi longtemps qu'elle voudra bien m'éclairer.
Je crois que je n'ai jamais eu autant peur qu'en cet instant précis où l'avenir ne me semble qu'incipide et obscur.
J'ai peur de ce qui va arriver, de ce qui risque d'arriver et même de ce qui n'arrivera pas.
J'ai peur des autres, peur de la solitude.
Peur de rater, de tomber, peur de la perdre.
Peur de la perdre oui.
Je ne sais pas où je vais, ni même ce que je vais devenir.
Je sais juste que même si demain me parait bien sombre, il y'aura toujours cette lumière qu'elle m'apporte, et dont je prendrais soin aussi longtemps qu'elle voudra bien m'éclairer.
J'ai bien peu de certitudes à ce jour, hormis celle que je l'aime et l'aimerais.
A toujours, mon amour.