"Se croiser, se perdre, se croiser, se perdre, se croiser, se perdre, mille fois se croiser, c'est un joli hasard. Se croiser, se perdre, se croiser, se perdre. "
Oldies.
Numero-trois
Karma & nicotine
Jeudi 19 mai 2011 à 23:27
Beating like a hammer
Des fois je fais des trucs et je sais pas pourquoi je les fais, mais je dois les faire, car j'en ressens comme un besoin, le problème c'est que je ne contrôle rien. C'est un peu comme quand j'écris, ça part tout seul et ça se diffuse.
De l'encre dans un verre d'eau, une infime erreur qui prends de l'ampleur.
En fait, comme je disais hier, dans ma vie (et dans ma tête) le nord et le sud c'est inversé, ou inversement d'ailleurs, ça m'a tout foutu par terre et j'étais tellement défaite que j'ai tout bêtement rien fais, c'était le bordel dans ma têt et moi je vivais dedans, et encore, vivre est un bien grand mot. C'était un peu le néant, en fait, non c'était le néant, j'étais anéanti, je lui appartenais et m'y complaisais. C'est triste à admettre triste ou difficile, je ne sais pas trés bien mais c'est important aujourd'hui.
Ce que j'avais pas vu venir c'est que le nord et le sud reprendrais un jour leur place. Et encore une fois mes meubles, mes convictions mes souvenirs se retrouvent par terre. Mais j'ai plus envie de les laisser moisir et se détruire. Alors je les relève un à un. Je les remets en place, à leur place, eux aussi. Ca prends du temps mais je sais qu'au final j'y verrais plus clair.
Des fois je fais des trucs et je sais pas pourquoi je les fais, mais je dois les faire, car j'en ressens comme un besoin, le problème c'est que je ne contrôle rien. C'est un peu comme quand j'écris, ça part tout seul et ça se diffuse.
De l'encre dans un verre d'eau, une infime erreur qui prends de l'ampleur.
En fait, comme je disais hier, dans ma vie (et dans ma tête) le nord et le sud c'est inversé, ou inversement d'ailleurs, ça m'a tout foutu par terre et j'étais tellement défaite que j'ai tout bêtement rien fais, c'était le bordel dans ma têt et moi je vivais dedans, et encore, vivre est un bien grand mot. C'était un peu le néant, en fait, non c'était le néant, j'étais anéanti, je lui appartenais et m'y complaisais. C'est triste à admettre triste ou difficile, je ne sais pas trés bien mais c'est important aujourd'hui.
Ce que j'avais pas vu venir c'est que le nord et le sud reprendrais un jour leur place. Et encore une fois mes meubles, mes convictions mes souvenirs se retrouvent par terre. Mais j'ai plus envie de les laisser moisir et se détruire. Alors je les relève un à un. Je les remets en place, à leur place, eux aussi. Ca prends du temps mais je sais qu'au final j'y verrais plus clair.
"Les plus belles fêtes sont celles qui ont lieu à l'intérieur de soi."
Et moi je penses que les plus beaux voyages sont ceux de l'esprit.
Et moi je penses que les plus beaux voyages sont ceux de l'esprit.
Vendredi 20 mai 2011 à 20:16
Arrete de foutre l'eau dans ton vin, met plutôt de l'eau de vie dans le mien, moi j'ai soif de sensations, de sentiments en ébullition.
Ce n'est pas le nombre de verres que je compte boire ou celui de cigarettes que je fumerais ce soir qui comptera vraiment, c'est de savoir si ces saletés pourrons pansé ma peine.
Jeudi 26 mai 2011 à 15:48
Je dois admettre que je ne suis pas trés productive ces derniers temps, la pauvreté de l'ame deteint sur l'écriture.
Mon ame, en ce moment, c'est un peu ces vieilles bonnes-femmes completement barges qui se ballade dans les rues et vous avise de prendre une planche afin de sauter du balcon.
Infect me with your love.
Quand on m'a demandé à quel mot j'associais l'amour j'ai répondu : drogue. J'aurais pu répondre poison, cela revient au même dans le fond, mais il faut bien admettre que tout cela manque d'originalité.
J'aimerais qu'on m'écrive une chanson d'amour.
J'aimerais qu'on m'aime à nouveau.
J'aimerais m'empoisonner.
Il parait que si l'on s'inflige un dose de poison minimim chaque jour on en devient immunisé.
J'aimerais être froide et sans coeur
J'aimerais ne plus pleurer
Seulement écrire et penser sans être influencée.
Mon ame, en ce moment, c'est un peu ces vieilles bonnes-femmes completement barges qui se ballade dans les rues et vous avise de prendre une planche afin de sauter du balcon.
Infect me with your love.
Quand on m'a demandé à quel mot j'associais l'amour j'ai répondu : drogue. J'aurais pu répondre poison, cela revient au même dans le fond, mais il faut bien admettre que tout cela manque d'originalité.
J'aimerais qu'on m'écrive une chanson d'amour.
J'aimerais qu'on m'aime à nouveau.
J'aimerais m'empoisonner.
Il parait que si l'on s'inflige un dose de poison minimim chaque jour on en devient immunisé.
J'aimerais être froide et sans coeur
J'aimerais ne plus pleurer
Seulement écrire et penser sans être influencée.
En attendant je tombe amoureuse de tout ce qui me plait, tout ce à quoi je peux m'accrocher, ne serait ce que le temps d'un regard d'une chanson, d'une pluie chaude ou d'un verre qui tombe.
Mardi 31 mai 2011 à 14:25
NOTHING CAN HURT ME, NOTHING CAN HURT ME.
J'ai beau me repéter cette phrase encore et encore, je reste sur cette impertinente sentation de frustration.
C'est pas si beau l'amour.
Et cette chaleur, ces nuages, lourds, épais, cette chape de plomb, claustrophobie estivale et infame.
J'en ai les yeux secs, et les larmes acides.
Alors j'attends la pluie.