Vendredi 20 mai 2011 à 20:16
Arrete de foutre l'eau dans ton vin, met plutôt de l'eau de vie dans le mien, moi j'ai soif de sensations, de sentiments en ébullition.
Ce n'est pas le nombre de verres que je compte boire ou celui de cigarettes que je fumerais ce soir qui comptera vraiment, c'est de savoir si ces saletés pourrons pansé ma peine.
Mardi 31 mai 2011 à 14:25
NOTHING CAN HURT ME, NOTHING CAN HURT ME.
J'ai beau me repéter cette phrase encore et encore, je reste sur cette impertinente sentation de frustration.
C'est pas si beau l'amour.
Et cette chaleur, ces nuages, lourds, épais, cette chape de plomb, claustrophobie estivale et infame.
J'en ai les yeux secs, et les larmes acides.
Alors j'attends la pluie.
Mardi 9 août 2011 à 22:44
It's easy to forget.
On a vu souvent, rejaillir le feu de l'ancien volcan qu'on croyait trop vieux.
J'ai vu rejaillir l'amour de ce qu'il restait de mon coeur.
J'ai vu mon visage changer et mon âme renaître.
Et puis j'ai vu ses yeux, je les ai lus, ils m'ont ému.
Elle a redonné le souffle qui manquait à ma vie.
Je l'aime tant.
Jeudi 25 août 2011 à 16:12
Ca ne changera jamais, de toute façon mais... TANT PIS
.
Ethylotest moi donc, c'est pas défendu de s'aimer dans les rues !
Sans déconner, faudrait vraiment avertir les gens que les homosexuels ne vont plus au bucher de nos jours, ni même dans les chambre à gaz.
Fin je sais pas moi, quand je vois un couple d'hétéro s'embrasser en pleine rue, ou dans le bus, ou dans un magasin, ou dans un parc je ne les dévisage pas la bouche ouverte en criant au scandale.
J'aurais bien deux trois anecdotes à vous raconter...
Tiens pour commencer :
-L'arret de bus : MEMORABLE !!!
Une voiture était à l'arrêt juste devant nous (donc bon, ma copine et moi quoi). A son bord : deux enfants à l'arrière une mamie coté passager et au volant, de qui devait être la bonne mère de famille. Et là une gamine dis à sa mère : "Mamaaaaan regaaaarde c'est deux fiiiiiilles !" C'est alors que celle ci lui répondit :"Oui eh bien ne regarde pas." Jusque là je peux comprendre, elle n'avait peut être pas envie de leur expliquer la chose ce jour là, mais alors quand j'ai vu la mamie, se cacher les yeux d'une main et remonter sa vitre de l'autre... J'ai pas pu m'en empecher, j'ai ri.
Conclusion : Pour certain l'homosexualité est un effet conjonctivite. FERMONS VITE LES YEUX POUR NE PAS L'ATTRAPER !
-La promenade du chien :
Nous nous tenions la main et mon amour m'embrassa sous un arbre. Jusque là rien de mal, quand nous remarquions se passant trés observateur qui ne daignait baisser le regard même à 500 mètres de nous et tout en marchant, au risque de se prendre un réverbère.
La prochaine fois, nous ferons des photos dédicassée, c'est promis !
Bon tout ça pour dire que je ne sais pas si je les attire où si ce genre de comportements est fréquent mais quoi qu'il en soit, faut quand même arreter le délire. Surtout que l'épisode de la promenade du chien avec le voyeur s'est produit deux fois en une semaine avec deux personnes différentes !
Quant à se faire insulter de PD à un feu rouge, ce n'est pas trés amusant non plus hein !
LE MOT DE LA FIN.
Samedi 27 août 2011 à 13:40
C'est terrible mais je ne sens plus rien.
J'ai sincèrement du mal à m'inquiéter de choses importantes comme ma rentrée.
J'ai cette fade impression que tout est déjà joué. Qu'il en est fini et que je suis déjà tracée.
Je rêve encore heureusement.
J'ai cette fade impression que tout est déjà joué. Qu'il en est fini et que je suis déjà tracée.
Je rêve encore heureusement.
Ici je suis une ombre un seul dans la centaine.
Je me revois déjà reprendre ce terrible drame dont j'étais auteur et protagoniste.
Je me revois déjà reprendre ce terrible drame dont j'étais auteur et protagoniste.
Prendre des trains, des bus, puis ses pieds. Pour des gens que l'on hais du plus profond de soi.
Pour des matières qui n'ont aucun avenir et dont nous devenons peu à peu esclave.
Une fois franchie la verrière de la gare, je n'étais plus la même. Et à vrai dire, je n'étais même plus.
J'ai bien pensé que la filière y était pour beaucoup, que je m'étais trompée de voie.
Mais en fin de compte que je me passe le film d'un quotidien avec une nouvelle fac, un nouveau programme et même avec de nouvelle têtes, je n'arrives toujours pas à me rassurer comme je l'éspère.
Allez donc frapper aux portes des facs avec un statut de décrocheur ! C'est déroutant.
Déroutant de voir à quel point on entretient cette phobie scolaire permanente.
Déroutant de constater ce non droit à l'erreur dans la vie de jeunes en construction.
C'en est même écoeurant.
Pour des matières qui n'ont aucun avenir et dont nous devenons peu à peu esclave.
Une fois franchie la verrière de la gare, je n'étais plus la même. Et à vrai dire, je n'étais même plus.
J'ai bien pensé que la filière y était pour beaucoup, que je m'étais trompée de voie.
Mais en fin de compte que je me passe le film d'un quotidien avec une nouvelle fac, un nouveau programme et même avec de nouvelle têtes, je n'arrives toujours pas à me rassurer comme je l'éspère.
Allez donc frapper aux portes des facs avec un statut de décrocheur ! C'est déroutant.
Déroutant de voir à quel point on entretient cette phobie scolaire permanente.
Déroutant de constater ce non droit à l'erreur dans la vie de jeunes en construction.
C'en est même écoeurant.
De l'encre dans un verre d'eau.
Encore une fois.